Organes: Primitif du foie - Spécialités: Imagerie
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CINC280X2108 : étude de phase 1b-2 randomisée comparant la tolérance et l’efficacité du spartalizumab associé à du capmatinib par rapport au spartalizumab seul, chez des patients ayant un cancer hépatocellulaire avancé. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le carcinome hépatocellulaire est un cancer primitif du foie qui se développe, dans la grande majorité des cas, à partir des cellules du foie déjà endommagées par une maladie chronique ou une cirrhose. La transplantation du foie constitue le traitement de 1ère intention du carcinome hépatocellulaire car elle permet de traiter la maladie. Le carcinome hépatocellulaire représente environ 80% de l’ensemble des tumeurs primitives ou secondaires du foie. Avec 714 600 cas en 2002, le carcinome hépatocellulaire représente le 5ème cancer le plus fréquent dans le monde. Dans de nombreux cas, les cellules cancéreuses développent une stratégie de protection qui consiste à inhiber le système immunitaire en sécrétant une protéine appelée PD-L1. Cette protéine peut inhiber l’activité des lymphocytes T en interagissant avec la protéine PD-1 localisée à la surface de ces cellules. Le spartalizumab est un anticorps ciblant la protéine PD-1 qui, en se fixant à cette dernière, permet d’empêcher l’inactivation des lymphocytes T par les cellules cancéreuses et d’aider le système immunitaire à éliminer ou limiter la prolifération des cellules cancéreuses. Le récepteur cMET est un récepteur tyrosine kinase impliqué dans l’embryogenèse, l’organogenèse et la réparation des tissus. La surexpression de ce récepteur dans les tissus tumoraux conduit à la prolifération incontrôlée et la survie des cellules cancéreuses ainsi que la production des nouveaux vaisseaux sanguins. Le capmatinib est un inhibiteur spécifique puissant et réversible du récepteur cMET permettant de réduire la prolifération des cellules cancéreuses et la privation des tissus cancéreux de l’apport nutritif et oxygéné du sang en limitant la naissance de nouveaux vaisseaux sanguins. L’objectif de cette étude sera de comparer la tolérance et l’efficacité du spartalizumab associé avec du capmatinib avec celles du spartalizumab seul chez des patients ayant un cancer hépatocellulaire avancé. L’étude se déroulera en 2 phases : Lors de la 1ère étape, les patients recevront du spartalizumab tous les 21 jours, associé à du capmatinib, administré 2 fois par jour en continue. La dose de capmatinib sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la 2ème phase. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à 2 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème étape, les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront du spartalizumab tous les 21 jours, associé à du capmatinib 2 fois par jour en continue, à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première phase. Le traitement est répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Dans le 2ème groupe, les patients recevront du spartalizumab tous les 21 jours. Le traitement sera répété en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis jusqu’à 150 jours après la fin du traitement de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Essai ouvert aux inclusions
GUERBET MAJ Il y a 4 ans

Etude GDX-44-008 : étude de preuve de concept relative à l’efficacité du P03277 dans l’imagerie par résonance magnétique pour le diagnostic du carcinome hépatocellulaire. [essai clos aux inclusions] Le carcinome hépatocellulaire (CHC) est le cancer primitif du foie le plus fréquent. Il reste très longtemps asymptomatique et donc de diagnostic tardif. La détection précoce permettrait d’administrer un traitement curatif plus tôt et donc de mieux contrôler la maladie. Le diagnostic se fait sur imagerie : échogrpahie, tomodensitométrie, imagerie par résonnance magnétique (IRM)... L’IRM permet de rechercher des anomalies que l’on repère moins bien avec d’autres techniques d’imagerie médicale. Certaines IRM sont réalisées après l’injection d’un produit de contraste dans une veine du pli du coude pour mieux visualiser les vaisseaux ou les anomalies dans les organes. Le P03277, nouvel agent de contraste en développement, est une molécule à fort potentiel qui permet de visualiser des métastases cérébrales de très petite taille. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du P03277 dans l’IRM pour le diagnostic du CHC chez des patients ayant des petits nodules du foie suspects. Les patients recevront une injection de P03277 en perfusion intraveineuse puis effectueront l’examen d’IRM. La tolérance au site d’injection sera surveillée pendant l’injection et jusqu’à 30 min après, puis le lendemain. Les signes vitaux seront évalués avant l’administration de P03277 et 30 min après, puis le lendemain. Des prélèvements sanguins seront effectués lors de la sélection puis le lendemain de l’administration de P03277. L’étude prendra fin une fois les images collectées pour tous les patients et lues dans le cadre de la lecture d’experts et les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre pour leur pathologie.

Essai clos aux inclusions
GUERBET MAJ Il y a 5 ans

Etude GDX-44-008 : étude de preuve de concept relative à l’efficacité du P03277 dans l’imagerie par résonance magnétique pour le diagnostic du carcinome hépatocellulaire. Le carcinome hépatocellulaire (CHC) est le cancer primitif du foie le plus fréquent. Il reste très longtemps asymptomatique et donc de diagnostic tardif. La détection précoce permettrait d’administrer un traitement curatif plus tôt et donc de mieux contrôler la maladie. Le diagnostic se fait sur imagerie : échogrpahie, tomodensitométrie, imagerie par résonnance magnétique (IRM)... L’IRM permet de rechercher des anomalies que l’on repère moins bien avec d’autres techniques d’imagerie médicale. Certaines IRM sont réalisées après l’injection d’un produit de contraste dans une veine du pli du coude pour mieux visualiser les vaisseaux ou les anomalies dans les organes. Le P03277, nouvel agent de contraste en développement, est une molécule à fort potentiel qui permet de visualiser des métastases cérébrales de très petite taille. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du P03277 dans l’IRM pour le diagnostic du CHC chez des patients ayant des petits nodules du foie suspects. Les patients recevront une injection de P03277 en perfusion intraveineuse puis effectueront l’examen d’IRM. La tolérance au site d’injection sera surveillée pendant l’injection et jusqu’à 30 min après, puis le lendemain. Les signes vitaux seront évalués avant l’administration de P03277 et 30 min après, puis le lendemain. Des prélèvements sanguins seront effectués lors de la sélection puis le lendemain de l’administration de P03277. L’étude prendra fin une fois les images collectées pour tous les patients et lues dans le cadre de la lecture d’experts et les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre pour leur pathologie.

Essai ouvert aux inclusions

Etude PREMETHEP : caractérisation du métabolisme glucidique et lipidique par tomographie par émission de positons (TEP) au 18F-Fluorodésoxyglucose (FDG) et à la 18F-Fluorocholine (FCH) pour prédire la survie des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé traité par sorafénib. Le carcinome hépatocellulaire (CHC) est un cancer primitif du foie qui se développe à partir des cellules du foie. Le seul traitement curatif est l’intervention chirurgicale avec une transplantation du foie mais elle n’est pas toujours possible. Pour les formes non opérables avancées de CHC, le traitement anticancéreux par sorafénib, apporte un gain significatif en termes de survie, mais l’efficacité de ce traitement est inconstante. Il serait donc essentiel de développer des techniques permettant d’identifier rapidement et efficacement les patients les plus susceptibles de répondre au traitement pour éviter un traitement inefficace et proposer des alternatives thérapeutiques. La tomographie par émission de positons (TEP) est une méthode d’imagerie médicale permettant de déterminer le fonctionnement et le métabolisme des cellules dans les organes. Elle est couplée à un élément radioactif, comme le 18F-fluorodeoxyglucose (FDG) ou la 18F-fluorocholine (FCH) qui est un traceur permettant de visualiser le métabolisme des cellules y compris des cellules cancéreuses. Des études ont montré que la FCH permet une meilleure détection des CHC en comparaison avec le FDG mais sa fixation sur la cellule reste inconstante. L’utilisation combinée de la TEP au FDG et à la FCH pourrait être complémentaire. L’objectif de cette étude est d’évaluer les capacités prédictives de la TEP au FDG et à la FCH et leur complémentarité pour le diagnostic, le bilan d’extension et la prédiction de récidive après traitement chirurgical, et ainsi utiliser un traitement efficace pour des patients ayant un CHC non opérable. Les patients bénéficieront d’une TEP au FDG et d’une TEP à la FCH réalisées avant le début du traitement par sorafénib et après un mois de traitement. Des prélèvements sanguins seront aussi effectués à ces mêmes moments. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre tous les mois suite à l’initiation du traitement et une évaluation radiologique par scanner ou imagerie par résonnance magnétique sera réalisée tous les deux mois pendant 1 an. Les patients répondront à des questionnaires de qualité de vie à chaque visite de suivi.

Essai ouvert aux inclusions